Saga Fantastique - Chevaliers contre Onis

Pour la seconde bataille, j'ai conservé le plateau des Grands Royaumes mais en prenant cette fois-ci un sorcier. Xavier a choisit de changer de faction avec la Horde, lui permettant de sortir ses démons du folklore japonais.

Après la lourde défait face aux samouraïs du clan Rikudan, l'armée croisée de Sir Alberich de Montbazon a été repoussé et poursuivit jusqu'au pied d'un plateau désolé. Là les autochtones semblent avoir refusé de continuer la poursuite et sont arrêtés.

Décidant qu'il fallait rejoindre leurs bateaux, les forces restantes de Montbazon parcours le plateau sans trouver de quoi se mettre quelque chose sous la dent hormis quelques racines noires et herbes asséchées.

Après trois jours à errer dans le désert, les croisés parviennent à atteindre l'orée d'une forêt. Mais en face d'eux, ils découvrent une bande de créatures et de monstres des plus étranges, comme tout droit sortie de l'enfer. Ayant l'air assez agressif, les chevaliers et les autres croisés sont certains que leur dieu les met à l'épreuve pour savoir s'ils sont digne d'aller au paradis.

 

 La bataille débute rapidement. Les hommes décochent quelques carreaux d'arbalètes et des traits de flèches. Dérangé par les picotements, les Onis s'en prennent aux gros insectes dans les bois. Mais ces derniers sont collant et resistants. Malgré leur puissance, les Onis semblent pataud.

 A droite de l'armée croisée, les archers font le nécessaire pour affaiblir quelques Onis. Sous la bénédiction de ecclésiastique, le paladin Sir Jean Tanrien, vicomte de Lassourde, prend pour cible ses derniers. Le combat est épique et le final à l'avantage du Paladin.

 C'est avec des coups de boutoir que les Onis parviennent à faire sortir les arbalétriers de leur tanière, mais ils restent actifs en continuant à viser leurs carquois sur les créatures.

 L'Akuma qui commande l'armée de démons fait sortir les bakemonos archers des bois pour le couvrir afin qu'il puisse attaquer l'humain qui a mis à terre sa force vive. Épuisé, Jean Tanrien ne parvient pas à encaisser les attaques de l'Akuma et tombe à son tour.

 Les croisés se regroupent au centre du champ de bataille. La pression venant principalement de la gauche, Sir Alberich de Montbazon opère un changement tactique en ramenant ses chevaliers sur le flancs gauche et en réorientant ses sergents face à la menace imminente.

 

Les Onis poursuivent dans la plaine les arbalétriers, puis c'est un dragon qui surgit des arbres pour ingurgiter le chevalier Guy d'Haume de Tel, le lieutenant du Seigneur croisé.

 Mais la contre-attaque va être foudroyante... ou pas ! Les chevaliers de Sir Alberich chargent le dragon, toujours sous les prières de ecclésiastique. Or les auspices ne semblent pas leur être favorable, car c'est d'un revers de la queue que le monstre chasse les cavaliers.

 Alors que les croisés ne semblent pas trouver de solution pour sortir de ce guêpier, voilà qu'une unité de cavaliers vient en plus s'ajouter aux forces démoniaques. L’ecclésiaste tente toute sorte de prières, d'incantations et autres rituels pour renforcer la foi et la force des croisés et tombe raide mort. 

 Les chevaliers tentent de briser le confinement imposé par l'adversaire. Ils parviennent à repousser au loin les cavaliers fraichement arrivés et créés une ouverture.

 Cependant, les Onis n'attendaient que la disparition de la plus grosse menace pour lancer un nouvel assaut. Plusieurs sergents sont massacrés. Le flanc gauche est sur le point de flancher.

Les chevaliers souhaitent revenir aider les leur, mais le dragon et le sorcier adversaire n'y consentent point. Furieux qu'on leur barre la route, les chevaliers éliminent le sorcier et sortent vainqueur du combat avec le dragon. Ce dernier doit reculer face à l'ardeur des hommes de fer.

 Au centre, c'est le Seigneur de Montbazon qui finalement élimine une grande partie des Onis, le rescapé retournant dans les sous-bois. Ne parvenant pas à éliminer complètement les gajins, et sentant qu'il manquerait de force, l'Akuma sonne la retraite, permettant ainsi aux croisés survivants de regagner leurs bateaux et priant pour ne plus jamais remettre les pieds sur cette terre impie.